Candidature Polyka

Polyka est quelqu’un de très pragmatique, qui s’embarrasse rarement de questions morales. Très peu émotif, il a un humour des plus désagréables, et qui sera rarement bien adapté. (Du genre à faire une blague nécrophile à un enterrement.) Il résiste très bien à la violence et à la pression ayant en effet fait partie des jeunesses communistes, il affectionne également beaucoup l’ordre et le respect des lois. Il sera très conservateur. Il est à noter qu’il affectionne l’esprit d’équipe et le dynamisme du groupe, il ne sera pas avare et égoïste, faisant passer le plus grand nombre en premier. Il gardera les gens utiles proches de lui, et tentera de trouver une utilité aux autres. Il prendra souvent plaisir à mettre les autres mal à l’aise pour les « endurcir ». Il est à noter que, toujours selon lui, la torture est une bonne méthode, et que se faire opérer sans anesthésiant « ça arrive ». C’est aussi un nationaliste Russe.

Polyka est vieux, les cheveux, courts, blanchis, des rides profondément marquées sur son visage accentuent ses traits fatigués. Cependant il n’est pas croulant pour autant, il s’entretient et a encore certaines capacités physiques, ce qui se voit à sa musculature développée. Il est cependant à noter qu’il a une blessure à la jambe droite qui est toujours en cours de guérison, il aura du mal à courir. Concernant sa taille il atteint le mètre quatre-vingts. Il possède un petit tatouage en forme d’étoile sur le biceps gauche ainsi que « C.C.C.P » dans le  haut du dos. Au niveau de la pilosité, il a une petite barbe, blanche, jaunie par la cigarette au niveau de la lèvre supérieure. Sinon pour ce qui est de sa voix elle est grave et posée, son accent Russe est clairement assumé et il ne cherchera pas à le cacher.  

Polyka est né en Russie Soviétique, d’un père membre du parti, et d’une mère ouvrière. Il a passé le plus gros de son enfance dans un appartement communautaire, ce qui lui apprit très vite la vie en communauté et comment se débrouiller avec trois fois rien, puis est très vite entré dans les jeunesses communistes où il développa un sens de l’honneur et du dévouement assez conséquent (et oui la propagande ça a aussi du bon). Dévoué à la patrie et démarqué par un dévouement exemplaire il se fit vite remarqué et rentra dans l’armée où il apprit les rudiments du combat au corps à corps ; le tir, la survie et la chirurgie ainsi que diverses techniques appréciées du régime en vigueur (espionnage et torture). Sa mère mourut de maladie, à cause des conditions déplorables de travail, son père resta fidèle au système bien qu’abattu, ce qui  le poussa à se suicider, offrant à Polyka une vision très précieuse de la vie, qui se perd très facilement. Une fois qu’il fut en âge,  Polyka devint soldat pour la Russie, servant dans divers conflits au nom de sa patrie, où il tua plusieurs personnes, ce qui l’endurcit. Une fois à la retraite militaire, il entra dans la médecine urgentiste, toujours réserviste cependant. Il continua d’ailleurs le tir (surtout au pistolet et au fusil semi-automatique/à verrou, très peu les armes automatiques ou les armes plus lourdes) et l’exercice tout en construisant une vie de famille avec une Russe, Macha, avec qui il aura une fille, Olga qui avait trois ans quand l’épidémie commença. Il menait donc une vie plutôt banale, si ce n’est son travail aux urgences et sa passion pour les armes. Une fois que l’épidémie a commencé, il fut appelé à combattre sur le front Russe pour endiguer la progression des infectés et tenir la ligne de défense. (Il est donc habitué à tirer sur les infectés les plus basiques, n’ayant pas ou peu rencontré d’infectés spéciaux).Malheureusement, au bout d’une semaine, une explosion de grenade lui causa des blessures à la jambe à cause d’éclats métalliques. C’est ainsi qu’il fut rapatrié à Hawaii, étant un bon soldat il était intéressant de le remettre sur pieds, sa jambe fut donc soignée, mais la blessure n’est toujours pas totalement soignée. (La partie avec le front Russe a été validée par Nekoash). Concernant sa femme et sa fille qui sont toutes deux restées en Russie, et très probablement mortes, il évitera souvent le sujet, devenant même agressif si on le force à en parler, il lui reste juste une photo de sa fille et de sa femme, qu’il gardera très précieusement.