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 Candidature Wilocks

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2 participants
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Wilocks




Messages : 1
Date d'inscription : 01/04/2020

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MessageSujet: Candidature Wilocks    Candidature Wilocks  I_icon_minitimeMer 1 Avr - 21:05

Wilocks



Partie HRP


Bien le bonjour, je m’appelle Alexis, Barnaby pour les intimes. J’ai 19 ans et je suis un fan de Rp. En effet, j’ai parcouru pleins de serveurs minecraft telle qu’esperia, ambervale, aquilon et tant d’autres !  J’aime aussi beaucoup lire, que ce soit des romans Historiques ou fantaisistes. J’aime beaucoup les jeux vidéos, d’ou ma présence ! Et cheh Karim benzema.


Fiche de personnage a écrit:

Tyler Wally

Image de votre personnage:



Nom : Wally

Prénom : Tyler

âge: 41 ans

Sexe: homme

Couleur de peau : blanche

Couleur de cheveux : Noir

Taille des cheveux : Coupe courte, militaire. On peut noter une certaine calvitie sur le sommet de son crâne.

Couleur des yeux : brun tirant vers le vert selon certain

Groupe sanguin : A+

Allergies : Aucune

Problème de santé : Tyler a reçu une balle dans le bas du dos dans sa prime jeunesse, lui causant par temps froid ou par mauvais temps de vives douleurs qu’il peine à réprimer avec l'âge.



________________________________________________________________


Description Mentale :



Beaucoup dirai de notre sergent qu’il est rustre, austère et cela est justifier. Il ne laisse pas grand chose paraître car selon lui on pourrait s’en servir à ses dépends. Son caractère a été forgé dans la rudesse du service militaire et de sa discipline ayant débordé dans sa vie privée, lui causant bien des problèmes par le passé. Sachant cela, l’on peut comprendre son attachement à son unité et aux Hommes qui sont sous ses ordres qu’il considère à juste titre comme ça famille. C’est donc pour cette raison que ceux qui on eu le temps de le connaître peuvent le décrire comme un Homme Bon, quoique distant, cherchant ce que la vie n’a pas su lui donner, telle une Ombre planant au-dessus de notre cher sergent le rendant maussade voir cynique en de rare moment.Ces années passés dans l’Olympus infestés et ravagés par les conflits ont laissés une marque sur son esprits, il est plus distant avec les pertes et il peine à tisser une relation avec les autres. Seul ses compagnons sont désormais sa famille, qu’il place au dessus de sa vie.

Description physique :



Tout ce que l’on peut s’attendre d’un soldat endurci, droit, grand et au regard implacable. Son visage n’est que le reflet de sa vie, un front marqué par quelques rides vient surplomber d’épais sourcils. Ses yeux, d’un brun tirant vers le vert dépose sur chacun ce jugement, déterminant l’Homme se tenant devant lui. Sur ce visage fatigué, se dresse un nez, trônant au dessus d’une barbe, seul vestige de pilosité. Son corps n’est pas impressionnant mais sous l’effort, il ne cède pas, malgré l'âge qui se fait de plus en plus pesant et qui aura raison de lui. Du haut de ses 1m83, Tyler n’est pas menaçant, mais ne vous méprenez pas, il n’est pas vétéran pour rien. Il peut le prouver par deux cicatrices notables, une plaie à la cuisse souvenir d’un éclat d’obus et un trou, à l’arrière du dos, dissimulant les restes d’éclats d’une balle. Ce vieux soldat s’habille humblement, troquant son uniforme que rarement à ses habilles de citoyen, qui se font démodés, reste d’une autre époque qu’il conserve, par habitude. Il porte un collier et un bracelet, étonnamment ce sont les mêmes, des plaques d’identifications, la sienne à son cou et l’autre à son poignet droit.Il eu aussi pendant la troisième guerre mondiale de récolter quelques souvenir supplémentaire, trois cicatrices sur son visage, dû à des éclats de pierre.
________________________________________________________________




Background:


Un retour douloureux :

J’étais allongé dans un lit d'hôpital. L’odeur du désinfectant me prit le nez et me noua la gorge. Tout était très lumineux, d’une blancheur éblouissante, reflétant les lampes aux plafonds. Un simple drap était déposé sur mon corps. Le bruit las des appareils médicaux, du vent, des bruits de pas pour seul compagnie. Je ne ressentais rien au début, prisonnier de mon propre corps dont je tenais tant de fierté. Puis, petit à petit, je contrôlais à nouveau cette chair qui était mienne. Je sentais mon coeur battre, envoyant le sang dans tout mes membres, cela faisait longtemps que je ne m’étais pas concentré sur moi, mon intérieur, ma respiration. Le temps était dilué, je ne pourrai pas vous dire combien de temps j’ai passé à cet exercice mais ça me revigora. Le monde s’étendit à toute ma chambre, dévoilant un vide pesant. J’étais seul. Toute ces années passés en Afrique, en déplacement, avec mes Hommes sur le terrain… Toutes ces années perdus. C’est à cet instant que moi, vétéran blessé par balle, se rendit compte à quel point un foyer lui manquait et avec lui, une famille. C’était pathétique, je me sentais si faible et je ne parlais pas physiquement mais cette vérité me fit mal, dévoilant un fait que j'en fuissé depuis trop longtemps. Misérable, était le terme que j’ai employé sur le moment mais avec du recule, je ne me suis jamais senti aussi vrai et vivant. La pénombre se glissa sur mon regard et avec elle, le soulagement du sommeil. J’aurai du écouter, cette idée me trotte souvent dans la tête, c’est ce que se dit Tyler, lors de ses permissions, dans son logement sur la 15e lorsque les restes de la balle logé dans son dos viennent lui tirer un grognement.

Un jour maudit :

-3ème étage ! RAS !
-Chambre de droite ! RAS !
-Cuisine ! RAS !
-On passe à l’étage supérieur clame le sergent, menant son escouade dans l’escalier de bois, grinçant sous les rangers des Hommes, éclairant de leurs lampes frontales la pénombre et la poussière planant autour d’eux. La respiration pesante à travers les filtres des masques, le cuir des gants crispant autour des poignées, le flottement, ce silence avant le fracas de l'intervention, devant les portes du 4ème étage. Ils se tenaient, tous là, Henry, Jo, Amerly, Abraham et Tyler. Une famille soudée dans l’effort et la discipline. Un simple signe, un battement de coeur, et machinalement le caporal Henry défonce la porte suite au signe venant de son supérieur, s’engouffrant avec lui dans cet appartement. Une habitation somme toute coquette, des tapis, des cadres dans lesquelles une petite famille était prise en photo, des meubles en verres. Les volets étaient fermés, les draps tirés, seul la lumière d’un poste télévisé éclairé le salon au fond, projetant jusqu'à leurs pieds, à travers un couloir la silhouette d’une femme. Raide comme un poteau, l’ombre se tenait dans l’encadrure donnant sur la pièce de vie, occupé par un canapé en cuir imposant.
-Plus un geste ! Restez sur place ! beugla le soldat, l’arme braqué sur elle. Sous son masque, la chaleur l’étouffé et troublait sa vision. Il aurait dû le retirer mais l’on ne peut refaire le passé.
-Retournez vous ! Lentem… Mais les tirs derrière lui interrompit le caporal, une rafale, puis deux suivit d’hurlement, celui de la femme en face de lui se jetant sur eux. Il ne comprit pas tout de suite, prit de court, la raison pour laquelle il passa à travers la fenêtre de droite, donnant sur un toit plat à l’image de tant d’autres dans cette ville, un mètre plus bas. Un adolescent, à en juger par son visage, lui mastiquait son gilet tactique la rage dans le regard accompagné de geste frénétique. A taton, il trouva l'étui de son couteau, grattant de sa main droite le gravier recouvrant la toiture, pour y sortir sa Lame qu’il plongea sans réfléchir dans la tempe du gosse. Se redressant, poussant sur le côté le cadavre de l’infecté, séparé de ses hommes, il grogna à la vu de cette situation.
-Jo ! On se casse ! Rep… Les dernières paroles étouffés par le son du combat et des coups de feu, il fallait agir, les retrouver en bas, ou au point d'extraction.
-J’arrive ! beugla le vieux sergent, vérifiant son barda tout en se dirigeant vers la porte, donnant sur le sommet des escaliers du bâtiment sur lequel il se tenait. Inspirant profondément au moment ou les cries sous ses pieds se faisaient entendre, il savait qu’il lui faudra redoubler d’effort pour parcourir ce guêpier. Lorsqu’il ouvrit la porte, il se plongea corps et âme dans un enfer aux sons de son pistolet mitrailleur pour retrouver son équipe.  



-Une pause… Rien qu’un instant… cracha t il, essoufflé. Tyler se redressa, concentré sur sa respiration saccadée. Il se remémore son sergent instructeur, qui se retournerait dans sa tombe si il le voyait.
-Allez soldat ! T’en a pas fini ! gronda notre Homme. Bien, ou dois-je aller ? Dépliant une carte des lieux, il imprima le parcours à suivre jusqu’au point de rassemblement, n’ayant pas vu son équipe redescendre, il se doutait qu’elle avait entreprit de le rejoindre là bas. Ruelle après ruelle, évitant la fureur des grands axes de circulations, il parcourut les méandres de cette cité. Par chance, il ne croisa que peu de personne sur sa route, si ce n’est un couple avec leurs enfants. Tout le monde était bien trop occupé à se demandait se qui se passait, cloîtré chez eux ou en route pour le checkpoint. Il progressa lentement dans ce dédale jusqu'à arriver au lieu de ralliement, vide. Il continuera la mission, coute que coute, quel qu’en soit le prix, il n’allait pas abandonner, pas maintenant. Mais sa détermination fut balayé lorsque le bruit assourdissant des pales d’un hélicoptère passa au dessus de lui, ses Hommes à son bord. Le bourdonnement des moteurs laissèrent place aux rugissements des infectés, se dirigeant vers sa position, attiré par le vacarme. Il devait agir vite, il n’y avait pas la place pour le remord ou l’abandon, un plan germa dans sa tête, il devait se rendre ou nul ne pourrai le trouver ou le voir, les égouts. Il se dirigea jusqu'à l’entré d’une bouche, en contrebas de sa structure dans une allée fétide descendant par l’escalier de secours en tôle. Celle-ci était partiellement ouverte et il s’engouffra à l’intérieur, refermant la trappe, le soleil et le chaos firent place à l’obscurité et au silence lorsque l’épais cercle de fonte claqua. la puanteur lui noua la gorge mais il eu le temps de décompresser. Jusqu’à maintenant, il n’avait pas réfléchit à ses actes. Le gosse, ceux dans l’immeuble… Dans le feu de l’action et de l'adrénaline il n’avait pas hésité, voyant en eux une menace, à éliminer. Désormais il avait eu le moment de reprendre ses esprits. Il renfloua brutalement les doutes qui lui venaient jusqu’à ce qu’il tombe sur un pauvre bougre, un mendiant qui s’était traîné sur le béton craquelé. Il était infecté, sa mine blanchâtre, maladive, le sang tachant son manteau crade. Le vétéran ferma les yeux, suppliant quelque divinité de lui venir en aide. Il n’en pouvait plus, il était soldat, pas meurtrier. C’est cette illusion qui maintient beaucoup d’Homme qui on tué à la guerre, justifiant leur acte. Mais là, qu’en sera t’il ?
-Aidez moi, deux Hommes mon agressés dans ce chaos... supplia le cinquantenaire, à la mine blafarde, le yeux injecté de sang. Il se voyait en lui, en ce clochard blessé, seul et sans personne pour l’aider, le soutenir. Cette pitié le prit au dépourvu, lui glaçant le sang. son arme se dressa machinalement, dans un geste pour réprimer ses sentiments. Il savait ce qu’il devait faire. Il ne craignait pas de tuer ce bougre, il avait peur de cette remise en question, celle de ses principes soutenant l’ensemble de sa vie. Le vieillard se figea, pétrifié de peur en voyant ce destin qu’il savait inéluctable. Le Clig… clig… clig… de la douille, tombant au sol suivit la dénotation brisant le silence pesant des deux Hommes. Glissant le long du mur de brique y laissant un filet de sang, le vieillard s’éteint, sans un bruit, sans aucune défense. Tyler n’avait pu se résoudre à tirer dans la tête, il visa le coeur. Il déglutit, quelques mètres plus loin, ajoutant à ce flot abjecte son tribut.





Post prologue

Le vent perçant venait s’abattre sur ceux vieux chêne, grand, aux racines profondes et à l'écorce épaisse ne laissant rien passer. Je nous reconnais parfois, moi et mes camarades, à cet arbre, se tenant droit depuis tant d’année, s’opposant à tout les éléments s’offrant à lui sans réel but, sans réel fin, seul dans ce parc beaucoup trop vaste pour lui.  J’étais épuisé, les sillons sur mon visage s’étaient creusés et au fur et à mesure du temps un voile s'était formé entre moi et ce monde dans lequel je m’étais forcé à vivre. J'avançais car Dieu m’avait donné des jambes et que mes compagnons, dans un sursaut d’espoir cherchaient toujours un but dans ces ruines, une rédemption en aidant ces pauvres ères, survivants de l’enfer et en proies au désespoir. Alors parfois je nous comparait à juste titre, aux brumeux, avançant sans but si ce n’est de nous mettre en morceau. Pourtant, c’étaient bien eux, Jozef et Melkyor qui de temps en temps savez me faire revenir parmi eux, m’arrachant un sourire bien trop bref tout en, pendant un court moment, me redonnaient foi en ce que je croyais, un avenir meilleur. C’est un résumé, du temps passés avant d’arriver dans ces bois, près de cet étang paisible au chaud dans cette maison de campagne. Cela m’a demandé beaucoup de temps et que Dieu soit loué, ma patience n’a jamais failli durant tout ce temps mais j’ai retrouvé un sens, une certaine sérénité et l’adage “après le calme vient la tempête” c’était inversé pour nous autres “ après la tempête vient le calme”. J’avais l’impression de rajeunir, de retourner dans l’Utah, ma terre d’origine… La chasse, la pêche et surtout le petit potager ont su apaiser un cinquantenaire. Je n’ai jamais eu de famille auparavant, c’était le cauchemar de mes nuits, de mourir seul, sans fils, sans fille, sans personne pour me pleurer et voilà comment ce monde est fait... Malgré toute la souffrance que j’ai pu endurer et les privations que jusque là je n’aurai pu imaginer, j’ai trouvé deux frères dans cette tempête et je n’ai aucun regret. Les mois se sont changer en années et j’avais retrouvé ma vivacité, sous cette voûte de feuillage, à l’abri du soleil, mon dos tiraillé de douleur suite aux labeurs de la terre. J’avais exprimé autrefois que la vie monacale m'irait bien, maintenant j’en suis convaincu. J’ai même fait partager cela à Jozef, le goût du jardinage et ces bienfaits. Cette coque s’étant formée pendant cette crise, si violemment , en quelques jours, j’ai su la briser avec patience et douceur, avec l’amour de mes frères comme baume. Alors qu’en les bruits de bombe sonnaires, que les tirs en villes se firent de plus en plus fréquents et que plusieurs bombardiers, à l’allure funeste et futuriste, nous avons su que les ambitions des Hommes et leurs folies c’étaient à nouveau réveillés.


C’est dans ce Monde que mes camarades me poussèrent, dans le brasier de la guerre. Nous étions acoquinés avec un groupe, des bougres telle que nous, pas mauvais, pas bon non plus avec lesquelles nous avons menés une drôle de guerre. Sabotage, vole de provision, attaque de convoie… Mais la chose qui m’a le plus marqué, la défense d’une petite communauté. Ils nous avaient contactés, suppliant de l’aide et un soutien armé alors que la guerre faisait rage depuis plus d’un an. Nos gars étaient dispersés alors, dans une action désespérée, on m’a envoyé avec trois autres types, ce qui était évidemment insuffisant leur prêter main forte. Lorsque nous sommes arrivés sur place, j’ai découvert une petite bourgade aménagée et barricadée. Ses occupants firent une mine pâle à la vue du peu de renfort qu’ils accueillaient mais ils n’en dire rien, il n’y avait rien à dire. De ce que l’on a appris, c’était un groupe de pillard qui s’en prenait à eux, des déserteurs, las de cette guerre perfides et cruelles qui avait déteint sur eux.
Nous avons donc fait de notre mieux pendant ces trois journées pour renforcer ce lieu, armer ses habitants et préparer un plan. Nous devions jouer sur l’élément de surprise, ils ne s'attendaient sûrement pas à une résistance farouche et contrairement à eux, nous connaissions le terrain. Le plan était simple, se planquer, attendre que ces chiens se jettent sur le butin, avide qu’ils étaient pour les frapper, durement et saper leur morale. Les caves furent aménagés, des sentiers entre les maisons creusés, les toitures furent transformés en poste de tir, les maisons piégés et la mairie, place central du lieu, dressé comme un bastion. Nous avions nos chances, plus nombreux, si dès les premiers instants assez d’entre eux étaient mis en déroutes ou tués, la victoire serait assuré. Ils vinrent comme prévu le troisième jour, se déployant dans la ville comme une nuée silencieuse, avec cette efficacité militaire qui fait froid dans le dos. Mais lorsqu’ils se rendirent compte qu’il n’y avait personne, leur chef ne pu contrôler le pillage qui se déroula. Il n’était pas dupe, il se doutait bien de quelque chose mais, il n’avait qu’une autorité limité sur ses hommes. Les premiers crient se fondèrent dans le brouhaha général mais lorsque l’épicerie explosa, laissant échapper une violente flamme, la panique s’installa. Les coups de feu résonnaient dans la petit ville, homme, femme et villard se battaient, à coup d’arme artisanale, carabine en tout genre et molotov. Leur chef fut transpercé par les éclats de verre d’un projectil incendiaire. A la vu de ceci, les restes de sa troupe prirent la poudre d'escampette. Ce n’était malheureusement qu’une victoire à la pyrrhus, les pertes étaient désastreuses. Après les avoir aidés les ères qui survivantes, enterré les morts et réunit notre récompense, nous sommes parties, moi et un blessé, les deux autres étaient tombés comme tant d’autre dans cette bataille qui n’avait pas lieu d'être.

La guerre s’acheva quelques mois plus tard. Moi, Melkyor et Jozef, nous y avons survécu mais à quel prix ? Installés dans ces ténèbres, dans ces métros si utiles auparavant, qui étaient tant secoués par  les explosions de la surface étaient désormais calme et silencieux. C’est dans ce silence pesant que nous avons fait notre nouveau foyer, un lieu agréable et paisible, abritant une étincelle qui demain, si Dieu le veut, jaillira en une flamme illuminant nos destins.


________________________________________________________________

Fiche de jet de dès

Force: (minimum initial 50) (points de force de base 80) (+ points à répartir)

-Combat à main nue (force): 10/100
-Parade: 10/100
-Capacité de poids: 20/100
-Force brute: 60/100
-Constitution: 60/100

Dextérité: (minimum initial 50) (points de dextérité de base 80) (+ points à répartir)

-Combat rapproché, techniques (Dextérité): 10/100
-Cuisine: 10/100
-Esquive: 60/100
-Agilité: 60/100
-Discrétion: 40/100

Intelligence: (minimum initial 50) (points d'intelligence de base 70) (+ points à répartir)

-Perception: 70/100
-Sciences: 10/100
-Technologies: 30/100
-Médecine: 30/100
-prémonition: 10/100

Charisme: (minimum initial 50) (points de charisme de base 80) (+ points à répartir)

-Charme: 35/100
-Intimidation: 25/100
-Négociation: 10/100
-Courage: 20/100
-Peur: 40/100

Armes: (minimum initial 50) (points de maîtrise d'arme de base 80) (+ points à répartir)

-Armes contondantes: 10/100
-Arme lourde: 40/100
-Armes tranchantes: 80/100
-Tir à l’arme de poing: 50/100
-Tir à l’arme moyenne: 80/100



J'ai lu et j'accepte le règlement.



_________________________________________________________________________________________________


Dernière édition par Wilocks le Dim 19 Avr - 0:27, édité 2 fois
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NekoAsh4499
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NekoAsh4499


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Date d'inscription : 11/04/2017

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MessageSujet: Re: Candidature Wilocks    Candidature Wilocks  I_icon_minitimeMer 1 Avr - 21:36

Tout est en ordre, la candidature est parfaite, rien à redire, si ce n'est qu'un problème avec l'image de profil. Candidature validée
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