Huître
Messages : 1 Date d'inscription : 27/03/2020
Feuille du Survivant Nom & Prénom: Melkyor Homs Âge: 46 Camp/Faction: Station Prométhée
| Sujet: Candidature Huître Ven 3 Avr - 19:13 | |
| Huitre Partie HRPPas de partie HRP parce que pas envie de filer mes informations.
- Fiche de personnage a écrit:
Melkyor Homs
Nom : Homs
Prénom : Melkyor
âge: 34 ans
Sexe: Masculin
Couleur de peau : Beige
Couleur de cheveux : Bruns
Taille des cheveux : Coupés courts
Couleur des yeux : Marrons
Groupe sanguin : A+
Allergies : N/A
Problème de santé : Penchant pour l'alcool
Description Mentale :
La première chose qui pourrait caractériser Melkyor serait probablement son courage et son sens du devoir et du sacrifice. Formé par le S.W.A.T afin d'accomplir des missions qui peuvent souvent se révéler dangereuses, il accepte la majeure partie des ordres, si tant est que ceux-ci soient fondés et qu'il en connaisse les raisons. En dehors de son service, il peut se révéler bon-public et taquin. De plus, il est un croyant opportuniste, donnant une place au catholicisme dans sa tête, bien que cette place soit assez hypocrite au vu de ses fonctions. Il n'a pas de diplômes particuliers, étant rentré dans la police à 19 ans après une formation professionnelle en maçonnerie. Il a la fâcheuse manie de toujours vouloir garder une arme, ne serait-ce qu'un canif ou une arme de poing, à portée de main. Son joueur de foot préféré est Benzema Refrin Description Physique :
Le trentenaire a subit de plein fouet les effets de l'âge combinés à ceux du stress inhérent à sa fonction, si bien qu'à trente ans, son front est déjà ridé. Ses cheveux bruns sont rasés de près, et sa barbe est inexistante, étant rasée chaque matin. Ses yeux marrons sont en amande, entourant un nez aquilin déformé. Il mesure 1m81 pour 80kg et possède une corpulence de « chat maigre ». En service, il porte l'uniforme réglementaire des membres du SWAT d'Olympus, tandis qu'il préfère souvent les sweat-shirts à capuche de couleurs sobres une fois en civil.
Background:
Melkyor a toujours vécu dans la mégapole d'Olympus, faisant ses études dans une petite école publique du quartier. Il a eu une enfance banale, avec les quelques erreurs qui accompagnent l'adolescence. Il ne fût jamais un grand adepte du système scolaire, s'orientant vers ses 16 ans vers des études en maçonnerie. Voyant en la police un moyen de mieux gagner sa vie, il s'y orienta vers ses 19 ans. Il fit ses preuves sur de petits délits, la mégapole étant assez peu animée par des actes criminels. A 24 ans, il passe les examens d'entrée au S.W.A.T, qu'il échoue. Il les repasse l'année suivante, et les réussit enfin. Il fera ensuite parti de plusieurs équipes de sécurité de sites sensibles, telles que des centrales électriques, nucléaires ou des sites gouvernementaux. Il passera l'ensemble de sa carrière dans le 3ème peloton de la police d'Olympus, dans lequel il atteindra le grade de lieutenant. Afin d'évacuer le stress, c'est durant cette période qu'il développa son goût prononcé pour l'alcool et les grosses murges.
Le 26 février, il fût déployé avec son équipe au niveau d'un barrage de police qui couvre le carrefour de la Wolf's Street Avenue. Un endroit charmant, s'il n'avait pas été en opération. Opération qui était, au goût de l'ensemble des dix membres de l'escouade, trop étrange pour sonner juste. En effet, le S.W.A.T était une unité d'élite, et ils étaient aujourd'hui envoyés afin de gérer une manifestation, qui plus est avec ordre d'abattre tout individu tentant de franchir la limite qui se dressait 50 mètres plus loin. Il se posta derrière une barrière en béton, un caporal, à en juger par l'insigne qui était cousu à son épaule, se tenait à sa droite, à gauche un officier de police fumait une cigarette. En entendant les cris et les hurlements se rapprocher et devenir plus distincts, Melkyor fût déstabilisé ; en effet, il ne s'agissait pas de revendications quelconques, mais des cris d'agonie, de rage et de désespoir mêlés. Le temps de considérer cela, les manifestants avaient franchit la barre des 50 mètres, en déplaisent aux officiers qui s'époumonnaient dans des mégaphones afin de les mettre en garde des sanctions qui suivraient le franchissement de la limite. Ce furent les tirs qui sortirent le lieutenant de sa torpeur, qui appuya mécaniquement sur la détente de sa MP5, tirant des rafales de 3 balles comme on lui a appris de nombreuses fois. Mais les manifestants ne cillaient pas, ils continuaient leur course effrénée. Ils dépassaient les trente mètres, le lieutenant vida un chargeur. 20 mètres, il ne lui en restait qu'un. Ou deux, allez savoir. 10 mètres. 2 mètres. Visiblement, il ne lui restait qu'un chargeur, raison pour laquelle il prit la fuite. En se retournant, il vit que l'avenue entière était envahie, de tous les côtés. Le barrage était tombé, une seule forme humaine courait, poursuivie par mille autres sorties d'un film apocalyptique, ou de l'Enfer lui-même allez savoir. La forme s'engouffra dans une plaque d'égout, Melkyor suivit, la verrouillant grâce à un loquet placé là par la providence. Bordel, il venait vraiment de vivre World War Z là ? Trop choqués pour parler, ils avançaient, sans munitions, leurs lampes accrochées à leurs armes braquées vers l'obscurité des tunnels. Tout à coup, ils discernèrent un mouvement vif ; ils y braquèrent aussitôt leurs lampes, pour découvrir un rat qui décampait. Sous ses pattes se tenait une sorte de prospectus, appelant à rassembler les survivants à l'église St-Gabriel, de Riverside Street. Après tout, au point où on en est. Les deux hommes continuèrent d'avancer, armes en main, pendant ce qui paraissait être une éternité, jusqu'à arriver devant une porte blindée. - Couvre-moi, je vais essayer d'ouvrir cette foutue porte, dit Melkyor à l'attention du caporal posté derrière-lui. Ce dernier alla quelques pas plus loin dans les tunnels, afin de les surveiller. Pendant qu'il essayait de faire sauter le verrou à l'aide d'un vérin, il entendit des bruits de pas, mais ne pouvait se tourner au risque de rendre ses efforts passés vains. Il ne vit donc pas le militaire qui détallait alors que les bruits des morts se rapprochaient. La porte céda enfin, s'ouvrant sur une crypte. Les deux hommes se dépêchèrent de la refermer derrière-eux, la bloquant avec le premier meuble qui leur passait sous la main, jusqu'à apercevoir des escaliers montant....
Post prologue : « « Je suis le Lieutenant Melkyor Homs, du SWAT. » Bordel, j'ai définitivement dit cette phrase trop de fois pour qu'elle ait encore un sens. Chaque mois, je renouvelais le message que j'envoyais sur les ondes, avec les radios que j'arrivais à glaner ici et là. J'étais accompagné par les deux connards qui avaient refusé de se tirer en hélicoptère avec les civils. Sergent Tyler de la Delta-Force, Monseigneur Jozef Sirkorski, et Lieutenant Melkyor Homs. De manière tout à fait honnête, je doutais que ces titres voulaient encore dire grand chose, mais quand bien même, ça nous rattache au monde d'avant hein. Les six premiers mois, c'était le chaos. Une fois les derniers civils évacués, on a pris le camion de transport de fonds jusqu'à la banlieue nord d'Olympus. Sur le chemin, on essayait d'aider les civils comme on pouvait, mais on a vite compris qu'on ne pouvait pas garder le véhicule. Alors on l'a foutu dans un coin, et on s'est tiré à pied. On dormait ici et là, organisait des groupes et nous servaient de nos contacts pour exfiltrer les civils. La plupart du temps, c'était Hivan qui venait nous cherchait, un chic type, même si ironiquement je n'ai jamais vu son visage qu'au-travers la vitre d'un vieil hélicoptère. On commençait à comprendre comment fonctionnaient les émeutiers : On sortait de jour, pillaient ce qu'on pouvait, balle silencieuse dans la tête, puis on repartait. L'armée continuait de temps en temps ses raids, mais quelque chose clochait. Ils n'étaient pas aussi équipés qu'avant, et ils semblaient comme économiser leurs balles, ce qui contrastait avec leur attitude à l'église Saint-Gabriel. Tiens, je me demande comment va Hurl, avec son dos carbonisé. Enfin. On a parcouru la banlieue nord, Tyler et Jozef me suivaient plus par pitié que par réelle motivation je crois. Je leur avais dit que je voulais retrouver ma fiancée, même si elle ne répondait pas à mes messages depuis le début de.. tout ça, une petite partie de moi continuait à me dire qu'elle avait pu survivre. On a tout fouillé, on ne l'a pas trouvé, alors j'ai fait mon deuil en silence. Peut-être qu'elle a été exfiltrée, après tout. Au fur et à mesure du temps, les exfiltrations se faisaient plus rares, et quand bien même, il ne restait plus grand monde à extraire. Alors on s'est mis au vert, avec les copains. Pas question d'abandonner notre Amérique natale pour des îles paumées à l'autre bout du monde,» On est allé à la campagne, vous savez, élever des poules, prendre le maquis contre les types armés qui voulaient vous tuer, pêcher. Bon, voyez le bon côté, y avait peu de chance que je déclenche une alarme de bus, là-bas. Et oui, je pensais que c'était une bonne idée de péter une vitre à coup de crosse, pas la peine de ressasser le passé. Enfin bref. Les deux autre vieillissaient à vue de nez, et moi aussi, j'étais plus tout jeune. Oh, il me restait bien ma MP5-S que j'avais piqué à O'Ryan, mais elle aussi commençait à s'user. Saleté de rosbeefs, pas foutus d'avoir du matos qui marche. Mais bon, ça pouvait pas durer l'idylle. Des chasseurs tout droit tirés d'un mauvais film de science-fiction ont fendu les cieux, pour survoler notre petite baraque à côté d'un étang. Fallait qu'on bouge, et vite. Branle-bas de combat, on récupérait ce qui était récupérable et on mettait les voiles. Pas question d'utiliser de voiture avec toutes les carcasses qui jonchaient les routes, d'autant plus si des jets survolaient la zone. On nous a fait le coup du bombardement surprise une fois, pas deux hein. On a rejoint ensuite la guilde des chasseurs. Des types venus d'on ne sait où, et à vrai dire on s'en foutait pas mal, nous confiaient une tâche à accomplir, on y allait, on survivait, point. Bon, de manière tout à fait honnête, ça s'est pas toujours bien passé, m'enfin, hein, comme qu'on dit, jamais un danger sans une bonne prime. Oui, j'ai inventé ce proverbe, maintenant fermez-la et laissez-moi terminer mon histoire. » Le vieil homme assit sur un tonneau buvait dans le verre d'eau posé à côté de lui, sur une caisse en bois estampillée d'une croix rouge. Il s'interrompit quelques secondes, avant de reprendre : « Enfin. Avec la guerre, il y avait pas mal de réfugiés, de déserteurs, et de types qu'on se demandait même comment ils avaient survécu, si vous voulez mon avis. On a mené une guerilla, des vrais p'tits Che Guevara hein. On essayait de protéger les types qui étaient perdus ici, putain de mentalité de prêtre ça. J'avais toujours mon brassard marqué d'une croix rouge, que je rafraîchissais au feutre de temps en temps. On tire pas sur les médecins, après tout. Ca m'a sauvé la vie une fois ou deux, je vous avais dit que j'avais pas que des idées de merde. On utilisait le métro pour nos raids et nos sabotages. C'est pratique, personne osait s'y aventurer, on était tranquille, à l'abri des bombes. On pouvait pas se fier aux cartes par contre, une partie des voies étant obstruées ou inondées, ce qui nous a conduit à l'écriture d'un guide personnalisé du métro post-apocalyptique. Le 2033, comme on l’appelait, quant à vivre l'apocalypse, autant le faire avec des références. Avec tous les récents événements, et au fil de l'usure, j'ai été obligé d'abandonner mon gilet pare-balle et mon casque du SWAT. En souvenir, j'ai gardé le matricule et la chemise, oh qu'est-ce que vous voulez, on se refait pas. Avec la fin de la guerre, je m'étais rangé. On peinait à trouver de la nourriture en 2049, j'ai été obligé de revendre mon équipement au Havre pour acheter des conserves. Un collectionneur a dû l'acheter, au moins il reste des types passionnés dans ce monde. Bon, en réalité je m'en foutais, mais il m'a acheté ma radio et ma MP5-S qui a vécu les événements de Riverside Street plein pot. Tant mieux pour moi. Plus tard dans l'année, j'ai pété mon poignard contre un émeutier. Tyler les appelait les brumeux, putain de poète. » Ayant fini son récit, et ne s'apercevant que maintenant que son public s'était considérablement réduit dans cette petite rue du Havre, Melkyor s'arrêta. Pas une seule pièce à ses pieds. Putain d'ingrats. On était le 19 avril 2050, le lieutenant Homs du SWAT n'était plus qu'un type aigri vivant dans un métro avec d'autre types aigris. Et il n'y avait plus de bières, putain.
Fiche de jet de dès Force : (minimum initial 50) (points de force de base 80) (+60)
-Combat à main nue (force) : 30/100 -Parade : 30/100 -Capacité de poids : 30/100 -Force brute : 50/100 -Constitution : 60/100 (+10)
Dextérité : (minimum initial 50) (points de dextérité de base 80) (+ 25)
-Combat rapproché, techniques (Dextérité) : 60/100 -Cuisine : 20/100 (+10) -Esquive : 20/100 -Agilité : 55/100 -Discrétion : 10/100
Intelligence : (minimum initial 50) (points d'intelligence de base 70) (+ points à répartir)
-Perception : 50/100 -Sciences : 10/100 -Technologies : 10/100 -Médecine : 40/100 -prémonition : 10/100
Charisme : (minimum initial 50) (points de charisme de base 80) (+ points à répartir)
-Charme : 10/100 -Intimidation : 10/100 -Négociation : 10/100 -Courage : 60/100 -Peur : 40/100
Armes : (minimum initial 50) (points de maîtrise d'arme de base 80) (+ 85) (+30)
-Armes contondantes : 10/100 -Arme lourde : 15/100 (+5) -Armes tranchantes : 75/100 -Tir à l’arme de poing : 75/100 -Tir à l’arme moyenne : 80/100 (+5) cheh
J'ai lu et j'accepte le règlement.
Dernière édition par Huître le Jeu 16 Avr - 22:11, édité 7 fois | |
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