Killst
Messages : 2 Date d'inscription : 02/04/2020
Feuille du Survivant Nom & Prénom: Minerva Rosalia Âge: 33 ans Camp/Faction: Royaume de Pendragon
| Sujet: Candidature Killst Jeu 2 Avr - 17:39 | |
| Killst Partie HRP Yop, je n'ai pas tellement envie d'étaler mon identité, mais bref, vous pouvez m'appeller par mon pseudo soit ce truc : "Killst" et pis si je vous aime, je vous dirai mon nom un jour évidemment ceux qui le savent ne tenait pas propos de ses quelques lignes. J'ai 18 ans, actuellement quand j'écris ses lignes, je suis étudiant en licence science pour l'ingénieur et j'ai pris une pause d'un an et quelques moins en plus dans le monde du rôleplay, vis à vis de mes expériences et bien avec le temps j'ai oublié la majorité de ou je suis aller mais j'étais sur Defcon Z bla bla Tarkoza et ses les deux que je me souviens clairement. Voilà.
- Fiche de personnage a écrit:
Minerva Rosalia
- Image de votre personnage:
Nom : Minerva
Prénom : Rosalia
âge: 23 ans
Sexe: Femme
Couleur de peau : Blanche
Couleur de cheveux : Rousse
Taille des cheveux : Longs
Couleur des yeux : Vertdâtre
Groupe sanguin : B+
Allergies : Aucune allergie connue
Problème de santé : Aucun problème de santé
Description Mentale :
Rosalia essaye de rester diplomate face à l’adversité, malgré ses convictions très forte et encrée, en effet, engagée dans cette cause qu’elle mène, elle pourrait se montrer rebelle face à une autorité ne suivant pas ses convictions, cependant dans la vie de tous les jours, elle essaye d’être le plus normal possible, essayant d’être sympathique et à l’écoute bien que ce soit difficile et surtout de rester ouvert d’esprit et à la critique même si elle ne supporte pas cela. De ne pas trop se renfermé sur elle-même mais pas non plus l’extrême opposée, de rester finalement naturelle, essayant au final d’être le plus flexible possible. Description Physique :
Rosalia est donc une jeune femme d’une vingtaine d’année, en pleine fleur de l’âge, mesurant à l’alentour d’1m70 et pesant une soixante de kilos environs, ayant une peau assez blanche. Elle possède une longue chevelure rousse légèrement ondulée vers les pointes avec quelques taches de rousseurs au niveau de ses pommettes, ayant des yeux plutôt verdâtres, olivâtre. Elle semble assez prendre soin de son apparence, se maquillant de temps à autre ainsi que de son corps qui celui-ci « entretenue » par les quelques séances physiques qu’elle pratique de façon assez fréquente.
Background:
« Que la vie peut être ennuyante. » C’étaient les mots qui résonnaient en boucles dans ma tête assises devant mon PC alors que je repense à ma vie, en ce fameux jour et alors que je lâchais un profond soupir, je repris avec une certaine concentration d’écrire ce... Ces mémoires ? « Après fallait comprendre que la vie étudiante peut-être barbante, surtout quand on est entouré de gens qui ne nous comprennent pas ! Après, j’imagine que c’est normal, cette putride société ou règne l’injustice la plus totale me dégoûte, on offre à ses moutons quelques miches de pain et plus personne ne veut voir la réalité en face… M’enfin en ses quelques lignes, je sais déjà ce que vous vous dites, Oh non encore une Coco révoltée ! Eh bien, vous auriez parfaitement raison ». Pourquoi je m’accroche à écrire tout cela… Comme si cela allait avoir un impacte désormais, de nouveau un profond sentiment de dégoût m’envahit alors que je me levai de ma chaise, de nouveau quelques mots résonnèrent dans ma tête, « De toute façon ses quelques notes ne sont d’aucune utilité, je me souviens les avoirs écrient si jamais lors du manifs, quelques chosent tournerai mal, avec les tensions qui règnent, tout peut arriver désormais. » Et alors que je m’écroulais comme une larve sur ce bon vieux canapé dans mon studio étudiant, je me suis mis à repenser à ma vie. Née américaine, d’un père directeur d’une usine de botte du coin et d’une mère auto-entrepreneuse dans l’immobilier, faut avouer que je n’ai jamais manquer de rien dans ma vie, que ce soit d’amour, d’argent ou d’attention, étant fille unique tout est beaucoup plus simple. Toute mon enfance fut géniale si je peux dire, à goûter à tous les privilèges que je pouvais avoir, avec l’innocence d’être jeune, pfh ! Le seul point positif c’est grâce à ma situation, j’ai peu avoir accès à une « certaine » éducation, en effet, avec la position plutôt avantageuse de mes parents surtout financière, j’ai pu fréquenter des écoles qui sortent légèrement du lot, étant studieuse j’ai toujours été au-dessus de la moyenne, je parle en note, pas dans le lot de tous ses fils de bourges. Me remémorer tout ça me donne, soif, je vais aller me prendre une bière tient, et ce qui est sûr, c’est qu’aujourd’hui, je ne sortirai pas pour aller en cours ! Aujourd’hui, je suis reine et je vais m’occuper de moi ! J’en ai assez d’aller dans cette université de mes deux. Et alors que je retournai sur mon canapé, je repris mon ordinateur sur mes genoux, mon adolescence fut calme à vrai dire, malgré mon caractère légèrement rebelle, comme tout ados quoi ! Je me suis assez tôt trouver une vocation je pense dans les sciences, j’adorer la physique tout ce genre de choses cool, l’électronique aussi, persuader que je m’épanouirai là-dedans c’est dans une université de mécatronique, mais avant ça j’ai eu la chance d’avoir mon propre ordinateur, hé bien qu’il était pourri à l’origine, ce fut je pense… Comment dire… Me remémorer tout ça me donne, soif, je vais aller me prendre une bière tient, et ce qui est sûr, c’est qu’aujourd’hui, je ne sortirai pas pour aller en cours ! Que je me souvienne, j’ai eu dans mon lycée la chance de pouvoir passer beaucoup de mon temps dans la bibliothèque, et de pouvoir m’y cultiver, j’ai toujours aimée lires en vérité, c’est ici que j’ai pu apprendre sur des grands penseurs, c’est à ce moment que je me suis poser des questions sur notre société, pourquoi des inégalités présentent, pourquoi des pauvres et des riches ect… Aujourd’hui, je suis reine et je vais m’occuper de moi ! Sacrilège pour une Américaine. Alors que je décapsuler cette fameuse bière, je reçu un message étrange de mon « club » de l’université, à vrai dire, on était plus une bande de potes activistes, ont placardaient des prospectus anticapitalistes dans le campus et ont à participés a plusieurs manifestions sociale, quelles soient pacifiques ou non d’ailleurs. Sans m’en rendre compte, j’étais devenue une vraie communiste. Sacrilège pour une Américaine. Alors que je décapsuler cette fameuse bière, je reçu un message étrange de mon « club » de l’université, à vrai dire, on était plus une bande de potes activistes, ont placardaient des prospectus anticapitalistes dans le campus et ont à participés a plusieurs manifestions sociale, quelles soient pacifiques ou non d’ailleurs. Apparemment, il se passait des trucs assez étranges, anormalement de policier mobilisé dans la ville et autour du campus. Y avait rien de prévu pourtant, m’enfin rien de grave, on a rien à se reprocher au final. Et alors que cette journée fut pleine d’enrichissement personnelle, c’est vers la soirée que tout bascula si je puis dire, toute cette merdique journée était remplie de ses spams d’agressions violentes tout autour du pays. Que ce soit sur le net, réseaux sociaux et net plus ou moins légal. C’était forcément étrange, cette recrudescence de la criminalité si subite d’ailleurs et alors que je naviguais sur le web pour trouver des réponses, c’est t’alors que vers le début de la soirée que tout s’accéléra, ce fut en premier sur les sites illégaux qui évoquent des messages absurdes d’apocalypse et de fin du monde, pis les réseaux sociaux, en parallèles mes potes sortaient du campus et étaient bloqués là-bas, pas de bus sans plusieurs heures de retards métro également, j’espérai juste qu’ils leurs soient rien arriver pis finalement c’était partout pareille, que se soient en Europe, Asie, Afrique et Amérique, les mêmes signalements de violence. Mais bordel ?! Tous les gangs dans le monde se sont donné rendez-vous aujourd’hui ? M’enfin les sites de presse n’annonçaient pourtant rien du tout. Pas un mot, tous des vendus à la solde de ce gouvernement... Mais alors que les minutes, ces précieuses minutes s’écoulaient, j’entendis de plus en plus de voitures de police dans mon quartier. J’entendais ce message de confinement ou de rejoindre le checkpoint assez éloigné de chez moi, puis ensuite des hélicoptères… La situation était si absurde. Je me levais de mon bureau pour observer dehors. On se croirait dans ses sortes de films de fin du monde, mais… Tout ça ne pouvait être réel… C’est impossible ! Pis subitement, j’entendis derrière moi, le président et son discours. Les premières minutes, j’étais… Tétanisée, je crois que c’était le mot, dans la panique, je pris un sac à dos avec moi, mon téléphone portable également, mes premiers pas dehors en se jour, qui avait pourtant si bien commencé, je partis en direction du checkpoint, à pied… Une longue course, mais tout était calme, pas une âme dans les ruelles de ma banlieue, rien, le silence était lourd, j’entendais seulement mes pas et ma respiration alors que mon téléphone vibrait, mais j’avais la tête ailleurs, fallait que je me casse de cette ville et vite… La solitude… Était insupportable, je n’arrivai pas à me calmer, je sentais… Comme si mon cœur allait sortir de ma poitrine, j’étais obligée de prendre une pause, essoufflée, je me remémorai quand j’échappais aux flics qui me coursais pendant les manifs. Tout était dans la respiration, fallait que je me calme que je reprenne contrôle de tout, le checkpoint sera envahi d’individus, c’était sûr, qui dis masse de monde dis, risque, forcément... Bordel, j’aurai dû rester chez moi ! Mais il est beaucoup trop tard, maintenant… Bordel… Ce que m’ont appris mes bouquins en psychologies humaines et je les en remercie… Dans les temps de troubles, les humains ont besoins de se réconforter dans des idoles stupides que se soient des dieux ou autres… Forcément… Une église, je dois cherchais une église, au moins je pourrai y passer la nuit en sécurité et je repartirai le lendemain chez moi. Il existe une église pas loin, je ferai mieux de m’y rendre en vitesse… Sur la route, j’ai trouvé des lumières dans celle-ci, il y avait des gens dedans… Peut-être que j’y trouverai enfin une forme de sécurité… Et peut-être des réponses... Du moins j'espère !
Histoire Post Prologue :
Enfin, Enfin la liberté, le retour à la normale, j’étais sauvée, malgré toutes ces épreuves… J’ai survécu, ce mot raisonner perpétuellement dans ma tête, à chaque minute, j’avais survécu à cet enfer. Après cela, il était évident que tout le monde souhaite reprendre une vie normale, et c’était le cas pendant quelques années de ma vie. Arrivée en Angleterre, j’ai eu la grande chance d’habiter avec Wilhelmina pendant un certain temps, elle m’a offert le logis le temps que je puisse me refaire. A vrai dire, j’avais de la chance, j’ai pu garder quelques objets que j’avais notamment cette chevalière, je l’ai revendue pour une certaine et avec la conversion de mes anciens dollars, j’ai pu me refaire une certaine santé. Pour donner suite à ça, ayant un endroit fixe pour dormir et vivre, j’ai pris pour première décision de finir mes études ; afin d’enfin obtenir un fichu diplôme reconnu. Pendant mes études, j’ai également commencé un de mes grands projets, j’allais écrire un livre, j’en avais un peu parler à Saphir mais bon, j’allais écrire un livre de pensé politique, c’était ce que je souhaitée. Quelques choses qui m’avaient toujours échappée des Anglais, c’étaient leurs attentions de cette famille « royale », tu parles d’une bénédiction, de vivre sous le joug de cette bourgeoise sans valeur. À vrai dire, elle nous avait bien sauvé qu’elle disait, mais au fond, qui nous disais que c’était par humanité ce choix, et non pour des raisons plus obscures. Mais bon fallait vivre avec ça et les groupes xénophobes qui traînent, les locaux si on peut dire. Ils nous regardaient tous, nous les gens d’ailleurs comme des menaces, comme si nous étions pestiférés, tous des ignorants. M’enfin, avec mon diplôme en main, j’ai pu avoir un petit appartement dans un quartier de la banlieue de Londres. Je vivais sous un toit, mais littéralement, quand il pleuvait, je sentais de temps à autre la pluie me tomber dessus. Mais bon, tout c’était normal, j’avoue j’étais heureuse d’avoir au moins mon chez moi, la surpopulation était visible à Londres, mais bon, avec ce flux de réfugiés perpétuelle, on va dire que c’était normal. Mais bon, tout n’était pas noir dans ce portrait. J’ai pu trouver un travail, je m’occupais de l’entretien des machines informatique d’une usine dans un quartier assez éloigné, je me souviens chaque matin, et à chaque instant ces affiches, toutes ses affiches de propagande, il était clair que les choses étaient si différentes désormais, reprendre le métro m’ai toujours… Ça me rappelle le monde d’avant. Sur mon chemin, y’avait un stand de tir, je m’y étais inscrit, suite à ce que j’avais vécue, il était clair que j’allais devoir apprendre à me défendre, ou au moins, apprendre à me servir d’une arme de poing. Ça m’était totalement inconnue avant, mais avec la pratique tout est possible. Mais cette routine fut perturbée d’abord par la guerre avec le Japon puis par la fin de l’écriture de mon livre. Ce fameux livre dont j’avais passé tant de temps, j’allais le publier, mais… Il fut censuré, contre la politique du pays qu’ils disaient. Je ressenti de nouveau cette haine du système que j’éprouvai avant, sous cette apparence, on était de nouveau asservie par cette autorité, par l’état. L’état était partout, contrôlait tout, passait partout. Il m’était évident que nous étions de nouveau dirigés comme « avant ». L’inévitable destruction de notre société n’était qu’une question de temps, les erreurs d’avant allaient ce répété et puis… Je n’allais pas rendre ma liberté pour cette « sécurité », il était temps que les gens ouvrent les yeux. Mais seule j’étais démunie. Non ! Toute les causes débutent ainsi, par une tête pensante et seule, j’allais devoir m’organiser, le mieux au début, ce sont les tracts ! J’avais une imprimante, designer un tract… Rien de bien dur, ensuite suffisait de les distribuer, la nuit, forcément, le visage couvert, j’allais distribuer tous ces tracts à bicyclette. Je me rappelle encore, durant cette nuit assez froide pour le coup, je sentais ce vent de liberté en moi, en lançant ses tracts à chaque coin de ruelle, par chance, j’ai pendant un certain temps jamais étais prise sur le fait. Dans mon quartier, on parlait de la folle en bicyclette, à vrai dire sa me faisait rire. Je suis passée après les tracts au graffiti, je n’avais pas perdu la main malgré ces quelques années de répit. Un soir je fu la rencontre d’un de mes premiers acolytes de lutte, il était réfugié tout comme moi, mais malgré qu’il n’était clairement pas autant à gauche que moi, il partageait ma vision des choses, ensemble, on allait faire tout ce qu’ils faillaient pour faire changer la société, on fut vite rejoint par quelques-uns de ses amis, peu à peu, nous étions plusieurs, mon petit appartement devenait clairement trop restreints pour notre ambition, mais on allait devoir faire avec. Cependant, je ne sais pas ce qu’il put se produire, alors qu’on devenait de plus en plus connus… Je sentais que j’étais épiée dans les rues, une présence m’observait, à vrai dire, je devenais sans doute simplement paranoïaque. Mais notre lutte pacifique était clairement inutile, il était peut-être temps de tout arrêter ou de passer à la vitesse supérieure, de provoqués les autorités, de les poussés à montrer leurs vrais visages, alors que cette idée germée en moi, ce sentiment de danger était de plus en plus important, j’avais de plus en plus de mal à dormir la nuit. Notre mouvement prenait de l’ampleur vis-à-vis des pauvres, aussi jolies qu’une société soit, il y a toujours des rejetés de celle-ci, des pauvres et miséreux. Mais avant même que quelques choses changent, une descente eu lieu dans mon appart, j’avais utilisé mes compétences pour installés une caméra discrète à l’entrée devant ma porte et proche de l’accès au toit, la paranoïa m’avait sauvée, mais pas mes compagnons, alors que j’étais planquée sous un faux planché que j’avais prévue dans mon armoire, j’entendis la perquisition de mes proches camarades. Ce sentiment de faiblesse, ça me rappelait finalement ce moment, dans ce commissariat, mais je n’allais pas me laisser abattre, il était clair que j’allais avoir désormais des soucis avec les autorités, je n’arrivai pas à croire ce que je me disais, mais… J’allais devoir retourner dans cet enfer si lointain maintenant. Débarrassé de tout traceur, que ce soit téléphone, carte bleue ou ordinateur, je me rendis dans les pubs mal fréquentés, on y trouve toujours les informations qu’on souhaite là-bas. J’ai pu entrer en contact avec des types qui propose de quitter le pays pour les Amérique, c’était ce qu’il me fallait. À vrai dire, le passage était hors de prix, mais je m’en fichais, j’ai tout donner pour partir. Le rendez vous était le lendemain proche de la cote, sur un vieux aéroport, on était plusieurs à faire ce voyage à vrai tout ceci m’étais très clairement dangereux, mais j’avais pas le choix, pendant ses semaines, j’avais même plus reprendre contacts avec mes anciens camarades, va savoir ou ils étaient retenues et dans quelle condition. Je n’avais pas le choix à par l’exil. Le vol fut plus que désagréable, mais alors qu’on approchait de cette terre maudite, mon cœur était serré par la peur. Je savais ce qui m’attendait là-bas, la mort partout, à chaque rue à chaque instant, de nouveau ses mots raisonnés dans ma tête, « Survivre » coûte que coûte. L’arrivée fut une énorme épreuve, le pilote nous signala plus loin, l’existence d’une terre sécurisée, le « Havre » on en avait encore pour une journée de marche. Peut-être trouverai-je la rédemption là-bas, mon premier réflexe fut de me fabriquer de quoi me défendre avec ceux qui étaient avec moi, on avait du tissu, du bois, des clous… J’avais fabriqué une fronde pour me défendre avec ce tissu et on partir en route le plus rapidement possible vers cette rédemption. Le chemin fut calme, avec chance, sans doute, car il était emprunté, me disais-je. Et après une journée entière sans aucun arrêt, on atteignit le fameux « havre », ici, j’ai pu trouver un logis, une activité, la paix finalement. J’ai demeuré pendant un temps dans ce village agricole, j’ai appris avec les locaux comment travailler la terre, l’observer, la chérir, la comprendre, ce genre de choses, en échange je mettais à contribution mes connaissances en technologies pour eux. Je ne saurais dire combien de temps j’ai séjourné là-bas, peut un ou deux ans, malgré tout, malgré ça, je ne pouvais oublier ma vie d’avant, pourquoi j’étais partis, et malgré ce calme, en moi, je voulais me venger d’eux. C’est alors que je me suis souvenue de cette vieille amie, Saphir, je… J’ai repris contact avec elle, peu à peu, et apparemment elle était à Olympus, elle m’avait octroyé ses coordonnées. Pendant plusieurs, je me suis demandé si au final, ma vie était limitée à rester ici jusqu’à la fin des temps. Certes, ces gens étaient sympathiques, mais… Je ne sais pas, je ne sais toujours pas pourquoi j’ai pris cette décision, mais je suis parti, parti en direction d’un manoir… Afin d’y trouver une nouvelle rédemption, ou peut-être commencer à y établir les braises d’une possible vengeance et plus, une révolution… Et puis, malgré ça… Je me suis rappelé que dans ce pays, j’avais aussi avant une famille, même si elle me détestait, je me disais qu'il serait temps de les revoirs, peut-être qu’ils sont encore en vie..
Fiche de jet de dès Force: (minimum initial 50) (points de force de base 80) (+10 points à répartir)
-Combat à main nue (force): 30/100 (+50 bras droit) -Parade: 20/100 -Capacité de poids: 30/100 -Force brute: 20/100 (+40 bras droit) -Constitution: 50/100
Dextérité: (minimum initial 50) (points de dextérité de base 80) (+70 points à répartir)
-Combat rapproché, techniques (Dextérité): 30/100 -Cuisine: 20/100 -Esquive: 40/100 -Agilité: 60/100 (+10 bras droit) -Discrétion: 50/100
Intelligence: (minimum initial 50) (points d'intelligence de base 70) (+80 points à répartir)
-Perception: 50/100 -Sciences: 70/100 -Technologies: 70/100 -Médecine: 30/100 -prémonition: 10/100
Charisme: (minimum initial 50) (points de charisme de base 80) (+40 points à répartir)
-Charme: 50/100 -Intimidation: 10/100 -Négociation: 40/100 -Courage: 40/100 -Peur: 30/100
Armes: (minimum initial 50) (points de maîtrise d'arme de base 80) (+0 points à répartir)
-Armes contondantes: 50/100 -Arme lourde: 20/100 -Armes tranchantes: 30/100 -Tir à l’arme de poing: 30/100 -Tir à l’arme moyenne: 10/100
J'ai lu et j'accepte le règlement. "Cheh" (c'est le mot magique non ?)(Ah oui, mais je suis pas très foot mais bon Benzema et j'ai rien à fredonner comme refrin, d'ailleurs c'est pas plutôt un refrain que refrin, tout ça est si peu clair.)
Dernière édition par Killst le Lun 18 Mai - 18:06, édité 5 fois | |
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